Les Lames du Tarot

 
« À partir de structures géométriques simples, elle construit des architectures rigoureuses, des « Maisons » qui tiennent à la fois des torii japonais et des totems africains… Ce sentiment de déjà-vu inquiète car il interroge sans réponse… On pressent à suivre les labyrintes qui ouvrent les parois de bronze, à lire les signes qui les marquent comme autant de talismans oubliés, qu’il se passe là, au cœur de la sculpture une histoire tenue secrète… Une réponse est peut-être donnée là, chaque destin y est peut-être inscrit… Les sculptures deviennent alors des supports de voyance où chacun, devin de sa propre histoire, peut voir se révéler… la pure vérité de son désir.»
 
 
ITALO BENVENUTI.Extrait d’une préface de catalogue.1993
 
« De maisons divinatoires en maisons magiques, Cehes nous entraîne dans la quête de ces choses cachées qui nous émeuvent sans bruit au plus profond de nous-mêmes… Elle continue d’explorer le monde de l’inconscient avec des formes d’un grand dynamisme. »
PHILIPPE PIGUET.Revue L’ŒIL.1993
 
« On peut découvrir un nouvel aspect de son œuvre où la pierre qu’elle affectionne est moins présente.On verra dans ce nouvel ensemble une force et une symbolique… qui permettront à tous les amateurs de sculpture d’admirer les œuvres. »
PIERRE JOSSET.Revue ART-ACTUALITE MAGAZINE.1993
 
 
« Claude Cehes abandonne les allées faciles pour se confronter à cet univers hostile de la confidence… Sculpte les paroxysmes des espaces pour chercher une rencontre. Tous les lieux sont confrontés, toutes les images sont assemblées… Reste l’œuvre unique et magique, elle constelle le langage comme une dentelle féerique, une juxtaposition de deux mondes, un dédoublement instantané, où la marque, l’empreinte reste inscrite dans le métal froid, acide des ébauches de la vie. »
MARIANNE BOTTARI.Extraits de la revue LA MAZARINE.1997
 
 
« Les Lames du Tarot sont les images d’un labyrinte où l’inconscient est l’ordonnateur d’un jeu divinatoire.En bronze, ces hautes stèles s’érigent en sentinelles dont la combinatoire des éléments recèle un sens caché que Cehes tente de nous rendre accessible… »
LYDIA HARAMBOURG.LA GAZETTE DE DROUOT.1999